Nous avons nous-mêmes bien arpenté les lieux, en descendant le cours d'eau vers les quartiers sud, où des magnats texans, surtout des marchands de bétail, ont construit de belles bâtisses à la fin du XIXe siècle. A cet endroit, la rivière prend un aspect presque bucolique et les sentiers sont désertés par les grappes de touristes. C'est qu'il faut marcher au moins 800 mètres, de quoi effaroucher nos amis Américains les moins hardis...
23 mars 2013
San Antonio, dare dare
SAN ANTONIO, Texas. Fameuse intuition de la part des planificateurs urbains de San Antonio, le centre de la septième ville des Etats-Unis s'articule autour d'une promenade de bord de rivière, le "Riverwalk". Et cette attraction recueille un succès fou! Des milliers de touristes se pressent autour des berges de ce cours d'eau bien canalisé, pour manger des nachos, enchiladas, tacos et autres spécialités mexicaines (nous ne sommes ici qu'à 200 km de la frontière) ou tout simplement flâner.
Nous avons nous-mêmes bien arpenté les lieux, en descendant le cours d'eau vers les quartiers sud, où des magnats texans, surtout des marchands de bétail, ont construit de belles bâtisses à la fin du XIXe siècle. A cet endroit, la rivière prend un aspect presque bucolique et les sentiers sont désertés par les grappes de touristes. C'est qu'il faut marcher au moins 800 mètres, de quoi effaroucher nos amis Américains les moins hardis...
P.-S. Le titre est bien sûr un clin d'oeil à Frédéric Dard, qui avait choisi le nom de son héros en pointant au hasard sur la carte des Etats-Unis, car il cherchait un patronyme anglo-saxon. Nous avons échappé aux aventures du commissaire Albuquerque!
Nous avons nous-mêmes bien arpenté les lieux, en descendant le cours d'eau vers les quartiers sud, où des magnats texans, surtout des marchands de bétail, ont construit de belles bâtisses à la fin du XIXe siècle. A cet endroit, la rivière prend un aspect presque bucolique et les sentiers sont désertés par les grappes de touristes. C'est qu'il faut marcher au moins 800 mètres, de quoi effaroucher nos amis Américains les moins hardis...
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