22 juin 2013

Arrête de ramer, on est sur le sable

HAPUNA BEACH, Hawaï. C'est bien beau de vouloir explorer Big Island dans tous les sens, mais au bout de 1 400 km en cinq jours, on finit par perdre de vue l'objectif premier des vacances: la reconstitution des forces dilapidées pendant une année à courir plusieurs lièvres à la fois. Donc, ce vendredi après-midi, nous avons posé nos bagages sur le rivage, plongé dans les eaux tièdes qui font la réputation mondiale de Hawaï, doré au chaud soleil tropical du premier jour de l'été et construit des châteaux de sable dignes du glorieux héritage de nos ancêtres les bâtisseurs de Chenonceaux, Chambord et Azay-le-Rideau. Sans être aussi fin ou blanc que le sable de Floride, celui de Hawaï possède toutes les qualités requises en matière d'architecture balnéaire. Et ne vous laissez pas tromper par le ciel menaçant sur la photo: il pleut toujours l'après-midi sur les hauteurs de Hawaï, mais les côtes restent au sec.

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