LOS ANGELES, Californie. En huit ans aux Etats-Unis, nous n'avions jamais vraiment écrit sur Los Angeles, bien que la deuxième ville du pays avec ses quatre millions d'habitants ait été notre lieu de vie de 2005 à 2009. Nous ne nous considérions donc pas comme touristes. Mais les temps changent et c'est sous l'angle du vacancier en short que nous avons abordé depuis lundi la ville des anges. Toujours aussi démesurée (grosso modo 250 km de long sur 100 de large), polluée et embouteillée, Los Angeles n'est pas belle à proprement parler. Mais le climat sec, la végétation méditerranéenne (ah, ces palmiers géants...), l'attitude des habitants, un peu plus décontractés que leurs cousins éloignés de la côte Est, contribuent à un cocktail séduisant. Beaucoup de "pélerinages" pendant cette semaine: nous avons retrouvé amis et anciens collègues, marché dans notre ancien quartier de West Hollywood, toujours peuplé de Russes renfrognés, de juifs orthodoxes et de joyeux gays. Nous avons posé devant le
Hollywood Sign, nous nous sommes
extasiés devant les étoiles du
Walk of Fame du quartier historique du cinéma, fait du
cruising chez les super-riches de Beverly Hills, avons trouvé le temps de fréquenter quelques musées, parcs d'attraction et jardins publics. Et entre toutes ces étapes, nous avons conduit des centaines de kilomètres sur les autoroutes urbaines et tentaculaires qui, avec leurs embouteillages sans fin, constituent la colonne vertébrale et la malédiction de l'agglomération.
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Pour y aller, c'est simple: prenez la 19, la 22, la 605, la 5, la 101 et la 2. Mais si ça bouchonne, la 405 et la 110 sont une bonne alternative. A moins que la 105... |
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Downtown Los Angeles à l'horizon, vue depuis le Griffith Park. |
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Un stormtrooper sur le Walk of Fame. Rien que de très normal à Hollywood. |
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Beachwood Canyon est le meilleur endroit pour prendre le Hollywood Sign en photo. Forcément, ça bouchonne! |
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Beverly Hills, code postal 90210 (naïnotouwono) |
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